Accueillir ce qui vacille, honorer ce qui cherche à émerger : 

une thérapie pour redevenir auteur de soi.

Je me donne toujours à 100 % dans mon travail. Chaque fois que j'accepte un nouveau projet, je vérifie qu'il résonne avec mes valeurs pour être sûr de fournir des résultats qui fassent bouger les idées qui s'activent chez les pesronne .


La colonne vertébrale de ma pratique thérapie narrative : 

se réapproprier son histoire pour redevenir auteur.e de sa vie 

« Et si vous n’étiez pas le problème, mais que le problème était le problème ? »

C’est autour de cette idée fondatrice que Michael White et David Epston, deux thérapeutes australiens, ont développé dans les années 1980 la thérapie narrative, une approche profondément respectueuse de la personne, de son histoire, et de sa capacité à donner du sens à ce qu’elle vit.
Cette forme de psychothérapie part du constat que nous construisons notre identité à travers des récits : les histoires que nous nous racontons sur nous-mêmes, sur les autres, sur le monde.
Or ces récits sont influencés — parfois façonnés — par des normes sociales, des expériences passées, des attentes, des blessures ou des regards extérieurs. Il arrive alors que ces récits deviennent enfermants, répétitifs, réducteurs.
La thérapie narrative propose de prendre du recul sur ces récits, de les interroger, de faire émerger des versions oubliées (les fameux récits alternatifs), négligées ou encore inexplorées de l’histoire de la personne.
C’est une invitation à réorganiser son réel, à revisiter son identité, à redonner du sens à son parcours — et surtout, à redevenir acteurs de ce qui se raconte. 
 

Ma posture : 

une thérapie narrative nourrie par l’anthropologie du vécu *

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*     L’expression "anthropologie du vécu" désigne une approche qui met au centre l’expérience subjective, sensible et incarnée des individus, là où l’anthropologie classique privilégiait souvent les structures et les systèmes. Ce n’est donc pas une tautologie, mais un recentrage méthodologique et épistémologique.



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Je suis psychopraticienne depuis plus de dix ans. J’ai choisi la thérapie narrative comme cadre principal car elle honore ce qui m’anime profondément : une écoute fine, éthique, sans réduction ni étiquette, qui considère la personne comme un être traversé d’histoires, de contextes, de désirs et de ressources.
Mon parcours est éclectique, nourri d’expériences variées et d’inspirations croisées. Il intègre des apports venus :
de la psychologie clinique et existentielle,
de l’anthropologie et des sciences sociales (pour penser l’individu en lien avec ses milieux d’appartenance, ses héritages, ses résistances),
de la philosophie et des traditions contemplatives, notamment les approches non-duelles (pour ouvrir une lecture plus vaste de l’expérience humaine).
J’aime dire que j’exerce une psychothérapie située, transversale et sensible, à la croisée du soin, du récit, de l’éthique et du sens.
Je n’apporte pas de solution toute faite, je n’interprète pas “à la place de” — je tisse avec la personne un espace sécurisé, vivant et ouvert, dans lequel elle peut revisiter ses histoires, redéployer ses valeurs, et retrouver de l’élan. 

 

Pour qui ? 

Cet accompagnement s’adresse à toute personne qui ressent un besoin de clarification, de compréhension ou de transformation.
Elle peut dissoudre :
Des troubles émotionnels : anxiété, dépression, stress, hypersensibilité (réactionnelle, qui n'aura rien à voir avec la haute sensibilité …)
Des souffrances relationnelles : conflits familiaux ou amoureux, amicaux, solitude, burn-out, difficulté à poser des limites ou à se sentir écouté.e…
Des traumatismes ou tout autre situations adverses : deuils, récents ou anciens, violence, licenciements, harcèlement, etc.
Des transitions de vie : séparation, naissance, changement professionnel, maladie…
Des remises en question existentielles : perte de sens, quête de cohérence, fatigue  adaptative, etc.
Des pathologies identifiées (addictions, TCA, bipolarité, dépression, TAG, etc.), dans une perspective de déconstruction des récits dominants et de réappropriation subjective.
Toutefois, elle s’adresse également à celles et ceux qui, sans “problème précis”, ressentent simplement le désir d’habiter autrement leur vie, leur relation au monde, leur rapport à eux-mêmes. 
 

Une thérapie pour redevenir auteur

Mon accompagnement ne consiste pas à “réparer” une personne abîmée, mais à l’accompagner à retrouver l’accès à ses savoirs, ses valeurs, ses ressources — parfois oubliées ou enfouies.
Je crois profondément que chaque histoire humaine mérite d’être racontée autrement, dans sa nuance, sa richesse, sa dignité.

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Accueillir ce qui vacille.
 Honorer ce qui cherche à émerger.
 Et réécrire, ensemble, des récits plus vivants, plus fidèles, plus porteurs.

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Aurélie Dugué - Psychothérapie 49